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Le fléau du spam téléphonique mobile prend très vite des proportions épidémiques. Voilà ce qui ressort d'une étude publiée aujourd'hui par un groupe représentatif de l'industrie et du monde académique. Selon un rapport établi par l'université suisse de St Galles et par l'entreprise mobile Intrado, plus de huit utilisateurs mobiles sur dix ont reçu des messages non sollicités. La plupart d'entre eux affirment préférer changer d'opérateur plutôt que de numéro de mobile pour combattre le problème.
Tant les consommateurs que les opérateurs mobiles prévoient que le spam mobile va devenir un problème majeur à l'avenir. Plus de 80 pour cent des entreprises télécoms indiquent qu'elles considèrent le spam mobile comme une question critique aujourd'hui ou qui va le devenir l'an prochain ou en 2007.
Dans le monde entier, les consommateurs prétendent que le spam mobile exerce un impact négatif sur l'image de l'opérateur de réseau mobile à qui sont adressées la plupart des plaintes. En outre, les consommateurs indiquent qu'ils considèrent les messages de marketing des opérateurs mobiles comme du spam.
Tom Phillips, government & regulatory affairs officer auprès de la GSM Association: "Alors qu'il n'existe pas de solution unique au problème du spam mobile, il y a un certain nombre de composant-clés pour toute solution bien réelle, y compris l'identification des spammers en refusant l'accès anonyme ou mystificateur et en les faisant payer par le biais de mécanismes de chargement clairs et appropriés."
C'est en recourant à une approche de recherche comparable qu'une étude réalisée en novembre et en décembre 2004 avait analysé les perceptions basées sur 1.659 rapports remplis par des consommateurs et sur 154 rapports émanant de professionnels des services mobiles.
Source : http://www.vnunet.be/datanews/detalle.a … 0050210025
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